Une femme demande à son mari à l’heure du petit-déjeuner

Le mariage, ce n’est pas seulement de l’amour, des compromis et des petits-déjeuners partagés… c’est aussi une inépuisable source de comédie ! Et la blague suivante en est la preuve parfaite. Imaginez la scène : une femme attentionnée, un mari un peu trop détendu, et une excuse qui finit par tourner à la farce.
Petit-déjeuner, 8 h :
Madame, tout sourire, s’active en cuisine : œufs brouillés, tranches de lard croustillantes, tartines dorées… Elle se penche vers son mari, fraîchement installé à table, et lui propose un festin de roi :
« Tu veux des œufs, du lard, une tartine beurrée, un peu de jus ? »
Mais lui, imperturbable, décline gentiment :
« Merci, mais non. C’est le Viagra, ça m’a coupé l’appétit. »
Pardon ?!
Déjeuner, 12 h 30 :
Madame n’a pas dit son dernier mot. Elle revient, armée de petits cakes maison et d’idées de croque-monsieur fondants.
« Tu veux quelque chose maintenant ? » tente-t-elle avec espoir.
Mais la réponse reste la même :
« Non merci. Toujours pas faim. C’est le Viagra, tu sais… »
Dîner, 19 h :
La tension monte. Elle met les petits plats dans les grands : côte de bœuf saignante, purée onctueuse, tarte aux pommes… rien n’est trop bon pour son chéri.
Mais devinez quoi ? Toujours pas faim. Toujours le Viagra.
Et là… c’est la goutte.
Elle le fixe. Sans hausser la voix, sans perdre son calme. Juste une petite phrase, prononcée du bout des lèvres… mais avec la précision d’un lancer de couteau :
« Bon, ça te dérangerait de me lâcher ? Je meurs de faim. »
Une chute culte, un dîner sauvé
Ce qui rend cette blague aussi savoureuse, c’est le contraste parfait entre la patience de l’épouse et sa réplique finale, à la fois cinglante et hilarante. C’est l’art du timing comique dans toute sa splendeur – et toute personne ayant déjà cuisiné pour rien trois fois dans la même journée comprendra le clin d’œil !
On rit parce que c’est vrai. Parce que la vie à deux, ce sont ces moments de décalage, de sous-entendus… et d’un humour qui sauve tout, même un dîner boudé.
Alors mesdames, si un jour monsieur ne veut rien avaler, posez doucement les couverts… et tenez-vous prêtes à servir la meilleure punchline du repas !