Lorsqu’un membre de la famille décède, NE GARDEZ PAS ces 4 objets

Perdre un proche bouleverse tout. On cherche des repères, on s'accroche à ce qui reste : une montre, un oreiller, un flacon de parfum. Mais certains objets, loin de réconforter, peuvent entretenir la douleur, bloquer notre énergie et transformer notre maison en un lieu figé dans le passé. Vous avez du mal à avancer ? Il se pourrait que l’un de ces souvenirs en soit la cause…
Horloges arrêtées : symbole figé ou émotion bloquée ?

Vous avez conservé une montre qui s’est arrêtée pile au moment du décès ? C’est un geste plein de sens… mais parfois lourd de conséquences. Derrière cet objet figé dans le temps se cache une ancre invisible. Elle nous retient, comme si notre propre vie s’était mise sur pause.
Psychologiquement, ces objets peuvent renforcer un sentiment de stagnation. Difficile alors de retrouver un rythme de vie normal, de reprendre confiance, ou même de bien dormir. Sans parler de l’ambiance qu’ils installent dans la maison : lourde, figée, parfois pesante.
Notre conseil : si cette montre fonctionne encore et vous fait sourire, gardez-la. Sinon, remerciez-la intérieurement… et laissez-la partir. C’est un petit pas vers un nouveau départ.
Objets médicaux : quand le souvenir rime avec douleur

Boîtes de médicaments à moitié pleines, tensiomètre oublié dans un tiroir, seringue dans une trousse… Ces objets du quotidien médical sont souvent laissés “au cas où”. Mais que racontent-ils vraiment ?
Ils rappellent la maladie, la vulnérabilité, les derniers jours difficiles. Même rangés, ils pèsent inconsciemment sur notre moral. Et leur présence constante peut créer une tension latente dans l’atmosphère du foyer.
À faire : débarrassez-vous de ces objets avec précaution. En pharmacie, on peut vous aider à les éliminer en toute sécurité. Vous libérerez de l’espace — et surtout, une part de votre esprit.
Vêtements intimes et literie : chaleur ou poids invisible ?
Un pyjama encore imprégné de son parfum. Son oreiller préféré. Un drap jamais lavé depuis… Ces textiles ont beau nous sembler réconfortants, ils sont souvent chargés d’une énergie émotionnelle très forte.
Ce qui devait être un lien devient parfois un fardeau : insomnies, crises de larmes soudaines, sentiment d’être “coincé(e)” dans une boucle de souvenirs. Et dans certaines traditions, on considère même que les vêtements absorbent une part de l’âme ou de l’énergie de leur propriétaire…
Notre astuce douce : triez avec le cœur. Gardez un objet symbolique si vous le souhaitez, mais ne vous sentez pas obligé(e) de tout conserver. Si un vêtement vous attriste, c’est le signe qu’il est temps de lui dire au revoir.
Reliques biologiques : un lien trop fort ?

Mèche de cheveux, dent de lait conservée, objets imbibés d’odeur corporelle… On garde parfois ces fragments physiques par attachement profond. Mais ces reliques nous relient au corps, et non à l’âme. Or c’est souvent l’inverse dont on a besoin pour guérir.
Ces objets peuvent créer un lien énergétique puissant, parfois étouffant. Ils entretiennent un attachement qui empêche le détachement émotionnel, pourtant essentiel pour aller mieux.
Le bon geste : si vous ne parvenez pas à vous en séparer brutalement, réalisez un petit rituel d’adieu. Un moment symbolique, doux et respectueux pour tourner la page, sans culpabilité.
Ce que vous pouvez garder, sans hésiter
Heureusement, tous les souvenirs ne font pas mal. Certains sont des bouffées de lumière :
- Une photo où il/elle sourit à pleines dents
- Une lettre touchante
- Un bijou, un objet de collection, un livre qu’il/elle adorait
Ces objets-là racontent l’amour, la vie, la joie. Ils nous rappellent le meilleur — et non la fin. Ils nous élèvent au lieu de nous retenir.









