60 jours à tester l’huile de coco : les effets surprenants sur la mémoire dévoilés

Publié le 29 avril 2025
MAJ le 30 avril 2025

Et si un simple changement alimentaire pouvait freiner le déclin cognitif ? Face au diagnostic d'Alzheimer de son mari, Mary a tenté l'expérience avec une solution naturelle aux résultats stupéfiants. Découvrez comment deux cuillères d'or végétal par jour ont transformé leur quotidien.

Le combat émouvant de Steve contre l’oubli

Alors qu’il vient tout juste de fêter son cinquantième anniversaire, Steve voit son existence bouleversée. Des trous de mémoire occasionnels laissent place à des difficultés inquiétantes : tenir des couverts devient un défi, verser de l’eau dans un verre relève du parcours du combattant. Le diagnostic tombe après un examen IRM : la maladie d’Alzheimer. Son état se dégrade progressivement, les traitements conventionnels montrant leurs limites face à cette implacable progression.

En France, les spécialistes comparent souvent la détérioration cognitive à un sablier dont le sable s’écoulerait irrémédiablement. C’est dans ce climat d’impuissance que Mary, son épouse, choisit de réagir et de chercher des solutions alternatives.

Une révélation surprenante lors de courses banales

Au fil de ses investigations, Mary découvre l’existence d’un traitement novateur nommé Ketasyn. En analysant sa formule, elle réalise avec étonnement que son composant principal est… l’huile de coco ! Ce produit du quotidien renferme en effet des triglycérides à chaîne moyenne (TCM), susceptibles de produire des cétones, un carburant salvateur pour un cerveau en souffrance.

Comparable à une alimentation de secours pour un système défaillant, ces cétones peuvent ravitailler les neurones endommagés et dans certains cas, restaurer partiellement les facultés mentales.

Les prémices d’une amélioration inespérée

Mary met en place un traitement basique : deux cuillères à soupe quotidiennes d’huile de coco incorporées aux repas de Steve. Les effets se manifestent rapidement : en quelques semaines, son mari affiche une vivacité retrouvée, son sourire réapparaît et ses tremblements s’atténuent visiblement.

Un an après le début de cette approche naturelle, Steve accomplit des progrès spectaculaires : il identifie à nouveau ses proches, participe à des conversations animées et retrouve le plaisir des balades, autrefois inconcevables. Le plus frappant ? Il recommence à lire, une capacité que l’on observe exceptionnellement chez les patients atteints de ce trouble neurodégénératif.

Le mécanisme d’action de l’huile de coco

Notre cerveau est un organe gourmand en énergie : il absorbe près de 60% du glucose circulant dans notre organisme. Cependant, avec la maladie d’Alzheimer, certaines cellules cérébrales perdent leur capacité à assimiler ce glucose, telles des ampoules privées de courant.

Les cétones générées par les TCM constituent alors une solution de repli. Elles fournissent une énergie alternative permettant de préserver les neurones et de freiner la dégradation cognitive. Ce principe évoque celui des véhicules hybrides : quand une source d’énergie vient à manquer, une autre prend automatiquement le relais pour maintenir le fonctionnement.

Des recherches scientifiques encourageantes

Une étude parue en 2004 dans Neurobiology of Aging a démontré des progrès cognitifs rapides après absorption d’huile de coco. En seulement 1h30, les participants ayant ingéré 40 ml d’huile obtenaient de meilleurs résultats aux évaluations mnésiques.

Certains experts, à l’instar du neurologue David Perlmutter, avancent une théorie plus large : l’excès de glucides et la carence en bonnes graisses contribueraient à l’explosion contemporaine des cas d’Alzheimer, une pathologie partiellement évitable par une alimentation mieux équilibrée.

Protéger son capital cérébral au quotidien

Au-delà de l’huile de coco, plusieurs pratiques peuvent optimiser la santé cérébrale :

  • Adopter le jeûne intermittent pour favoriser la synthèse naturelle de cétones.
  • Réduire la consommation de sucre et de gluten, substances néfastes pour les fonctions cognitives.
  • Nourrir son microbiote intestinal avec des probiotiques, car un écosystème digestif sain influence positivement le cerveau.

Il convient toutefois de souligner que toute modification alimentaire significative doit être supervisée par un professionnel de santé pour prévenir d’éventuels déséquilibres métaboliques.

L’aventure de Steve nous enseigne qu’il ne faut jamais abandonner l’espoir, même dans les situations les plus critiques. Face à la maladie d’Alzheimer qui brise tant de vies, il arrive qu’une simple cuillère d’huile végétale puisse redonner accès à des pans entiers de mémoire…