Un pompier révèle les quatre derniers mots prononcés par la princesse Diana avant sa mort

Publié le 8 septembre 2025
Un pompier révèle les quatre derniers mots prononcés par la princesse Diana avant sa mort

C’est une nuit dont personne n’a pu faire abstraction. Une de celles où l’on se souvient exactement d’où l’on était, de ce qu’on faisait, et de l’effroi qui s’est emparé des foyers à travers les écrans. Mais derrière les images diffusées sans relâche, un détail profondément émouvant est resté longtemps secret : les derniers mots de la princesse Diana. Vingt-huit ans plus tard, un pompier présent ce soir-là a brisé le silence… Et ses confidences glacent encore le sang.

Une nuit d’août qui a marqué l’Histoire

31 août 1997, Paris. Diana, alors âgée de 36 ans, et son compagnon Dodi Al-Fayed tentent d’échapper à une horde de photographes. Leur voiture roule à vive allure dans le tunnel du Pont de l’Alma, mais perd le contrôle… Le choc est inévitable. À l’impact, trois vies s’éteignent : celle du chauffeur Henri Paul, celle de Dodi, et quelques heures plus tard, celle de la « princesse au grand cœur ».

Seul survivant du drame : le garde du corps Trevor Rees-Jones, gravement blessé mais vivant. Les secours arrivent rapidement sur place. Parmi eux, un pompier qui n’imagine pas encore qu’il tient la main d’une des femmes les plus influentes du XXe siècle.

Une simple « femme blonde », puis la stupeur

Xavier Gourmelon, pompier de Paris, fait partie des premiers intervenants. Il s’approche d’une femme blonde, consciente malgré le choc. « Elle bougeait, parlait, respirait. Rien ne laissait présager un drame aussi grave », confiera-t-il bien plus tard dans une interview au Sun.

Ce n’est qu’en l’aidant à sortir des décombres qu’il entend une phrase simple, mais bouleversante. Quatre petits mots, comme une question suspendue dans le temps : « Mon Dieu, que s’est-il passé ? »

À ce moment-là, Gourmelon ignore encore l’identité de cette femme. Ce n’est qu’une fois Diana installée dans l’ambulance qu’un collègue lui murmure son nom. Le choc est immense.

Un espoir de courte durée

Malgré tout, l’instinct de secouriste prend le dessus. Gourmelon raconte lui avoir tenu la main, lui avoir parlé pour la rassurer, lui avoir même fait un massage cardiaque. « Elle a recommencé à respirer. J’étais soulagé. Pour moi, elle allait s’en sortir », confie-t-il, encore marqué par cette nuit.

Mais quelques heures plus tard, à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, l’inimaginable tombe : la princesse Diana succombe à de graves blessures internes. Le monde entier est sous le choc.

Une disparition qui a touché la planète entière

L’annonce fait l’effet d’un coup de tonnerre. En quelques heures, une foule silencieuse envahit les abords du palais de Kensington. Des milliers de fleurs, de lettres, de peluches s’accumulent. Les funérailles, retransmises à travers le monde, rassemblent près de 2,5 milliards de téléspectateurs. Une vague d’émotion mondiale, rarement égalée.

Ce n’était pas juste la disparition d’une princesse. C’était celle d’une figure engagée, humaine, aimée pour sa sincérité et son proximité avec les gens. Et ces derniers mots, si simples, résonnent aujourd’hui comme le reflet de ce qu’elle a toujours été : une femme proche du peuple, surprise par le destin.

Une mémoire toujours vive

Xavier Gourmelon a depuis quitté les pompiers, mais le souvenir de cette nuit ne l’a jamais quitté. « Je revois encore son regard, sa voix, cette phrase… C’est resté gravé », confie-t-il. Ce témoignage profondément marquant rappelle, au-delà du mythe, l’humanité de Diana.

Parce qu’au fond, même les icônes ont peur. Même les héroïnes prononcent des mots simples. Et c’est peut-être cela qui rend cette histoire si humaine, si universelle.