Les plaisanteries du jour

Publié le 15 janvier 2025
MAJ le 21 avril 2025

Sous l'ombrage d'un chêne séculaire, deux seniors se délectent de l'instant présent dans un parc tranquille. Entre le murmure des feuilles, les éclats de rire des enfants au loin, et un chien poursuivant une balle, l'harmonie du paysage s'épanouit. Une parenthèse idéale pour flâner avec élégance.

Deux anciens compagnons, une coureuse et un sourire espiègle

Soudain, une jeune femme passe en courant, habillée d’un short et d’une brassière de sport. Cette scène attire l’attention.

– Léon, haussant les sourcils :
« Tiens, elle est plutôt charmante, n’est-ce pas ? »

– Maurice, esquissant un sourire :
« Absolument… On ne se lasse jamais de la beauté, peu importe l’âge. »

La coureuse les remarque, ralentit, et s’approche avec un regard mécontent, visiblement agacée.

– La coureuse :
« Pourquoi tu souris de cette manière, vieux dragueur ? »

Loin d’être offensé, Léon reste calme et répond doucement.

– Léon :
« Oh, excusez-moi, mademoiselle. Ce sourire n’était pas mal intentionné. C’est juste que, malgré les épreuves de la vie, voir une jeune femme rayonnante illumine toujours la journée d’un homme plus âgé. »

Touchée par la sincérité de Léon, la coureuse s’adoucit. Elle dépose un léger baiser sur sa joue avant de repartir, trottinant avec légèreté.

Maurice, surpris, éclate de rire.

– Maurice :
« Ha ! Bien joué, mon ami. Quelle répartie, hein ? »

– Léon, avec un sourire complice :
« 3-0. À ton tour ! »

Michael et la vente la plus improbable

Quelques kilomètres plus loin, dans une métropole, une autre histoire se déroule.

Michael, jeune homme originaire du Montana, vient de déménager à New York à la recherche d’un emploi. Il obtient un poste dans un grand magasin de la ville.

Le jour de son embauche, le patron le met en garde.

– Le patron :
« Ici, ce n’est pas le Montana. Pour rester, tu dois vendre au moins 20 produits par jour. »

Michael acquiesce sérieusement. Mais à la fin de la journée, le patron vérifie les performances.

– Le patron :
« Alors, combien de ventes aujourd’hui ? »

Michael baisse les yeux.

– Michael :
« Une seule. »

Le patron est furieux.

– Le patron :
« Une seule ? C’est inacceptable ici. Tu dois te reprendre ! »

Respirant profondément pour se calmer, le patron demande avec curiosité :

– Le patron :
« Bien… quelle était la valeur de cette vente unique ? »

Michael relève les yeux.

– Michael :
« 124 088,30 $. »

Le patron est stupéfait, au bord de la stupeur.

– Le patron :
« QUOI ?! Mais qu’as-tu bien pu vendre pour ce montant ? »

Michael, impassible, commence à raconter.

– Michael :
« Eh bien… d’abord, je lui ai vendu des hameçons. Ensuite, je lui ai recommandé une nouvelle canne à pêche. Comme il voulait pêcher en mer, je lui ai vendu un bateau. Et comme sa voiture ne pouvait pas tracter le bateau, je lui ai vendu un 4×4 Dodge. »

Le patron n’en croit pas ses oreilles.

– Le patron :
« Donc, il est venu pour des hameçons et tu lui as vendu un bateau et un 4×4 ? »

Michael esquisse un léger sourire.

– Michael :
« Pas exactement. En réalité, il est venu acheter des tampons pour sa compagne. Alors je lui ai dit : « Mec, ton week-end est compromis. Tu devrais aller pêcher. » »

Un soupçon d’humour peut tout changer

Que ce soit sous un vieux chêne ou dans les allées d’un magasin, l’humour et la répartie ont le pouvoir de métamorphoser une situation ordinaire en un moment inoubliable. Alors, la prochaine fois que vous croiserez un vieil homme souriant, peut-être comprendrez-vous mieux ce sourire mystérieux. Et vous, quand avez-vous partagé votre dernière plaisanterie ? N’hésitez pas à partager cet article avec vos proches pour leur apporter une touche de bonne humeur !