La ressemblance est troublante : le fils cadet d’Alain Delon fait fondre toutes les filles

Publié le 3 octobre 2025
La ressemblance est troublante : le fils cadet d’Alain Delon fait fondre toutes les filles

Il suffit d’un regard pour comprendre : ce jeune homme est bien le fils de l’un des acteurs les plus iconiques du cinéma français. Même intensité dans les yeux, même port altier, même beauté presque irréelle… Oui, Alain-Fabien Delon, le benjamin de la légende vivante Alain Delon, semble avoir reçu en héritage tout le magnétisme qui a fait de son père une véritable icône.

Mais qui est vraiment ce jeune homme qui affole les réseaux sociaux, les podiums et les plateaux de tournage ? Zoom sur une étoile montante qui ne laisse personne indifférent.

Une ressemblance troublante… et assumée

Lorsqu’on découvre Alain-Fabien pour la première fois, impossible de ne pas penser à Alain Delon version jeune premier. Cheveux bruns en bataille, regard perçant, mâchoire bien dessinée… il y a dans ses traits ce petit quelque chose d’intemporel, ce charme à l’ancienne qui fait mouche. Et le public ne s’y trompe pas.

Souvent comparé à son père dans sa jeunesse, le jeune Delon ne cherche pourtant pas à imiter qui que ce soit. Il avance à son rythme, traçant son propre chemin entre cinéma d’auteur et défilés de mode, avec une aisance qui force l’admiration.

Une jeunesse pas toujours rose

Né en 1994 à Gien, dans le Loiret, de l’union entre Alain Delon et le mannequin néerlandais Rosalie van Breemen, Alain-Fabien a grandi entre deux cultures. Il parle plusieurs langues (français, anglais, néerlandais, et un peu d’allemand), un atout précieux dans le monde cosmopolite qui est aujourd’hui le sien.

Mais derrière l’image lisse du fils de star, le jeune homme n’a pas toujours eu une vie facile. Comme beaucoup d’enfants de célébrités, il a été très tôt exposé à la pression médiatique et à une certaine instabilité familiale. Il a lui-même reconnu avoir traversé une période difficile à l’adolescence, marquée par des excès, des doutes et une quête d’identité.

Entre ombre et lumière, un artiste en devenir

Si son parcours a connu quelques dérapages, Alain-Fabien s’est relevé avec une force impressionnante. Soutenu un temps par son père, avec qui les relations ont parfois été tendues, il a trouvé dans le jeu et la création une forme d’équilibre.

Côté cinéma, il a déjà prouvé qu’il ne se contentait pas d’un joli visage : il veut raconter des histoires, explorer des personnages complexes. On a notamment pu le voir dans Les Enfants de la chance ou Ultra Pure, où il incarne avec justesse un rôle sombre et tourmenté.

Mais c’est aussi dans la mode qu’il brille. Sollicité par les plus grandes maisons, il a posé pour Dior, Vogue ou encore Numéro Homme. Sur les podiums comme en couverture de magazine, son élégance naturelle et son regard intense font toujours leur effet auprès du public français.

Un avenir à suivre de très près

À 31 ans, Alain-Fabien Delon n’est plus simplement « le fils de ». Il devient, petit à petit, une personnalité à part entière. Avec sa gueule d’ange et son goût du risque, il incarne une nouvelle génération de talents, à la croisée des chemins entre héritage et modernité.

Et si c’était ça, finalement, le vrai legs d’Alain Delon : une beauté intemporelle… et la liberté d’en faire ce que l’on veut ?