Une femme a posé ses pieds sur le siège de mon mari dans l’avion — je n’ai pas pu le supporter et je me suis vengée d’elle de façon mesquine

Publié le 1 octobre 2025
Une femme a posé ses pieds sur le siège de mon mari dans l’avion — je n’ai pas pu le supporter et je me suis vengée d’elle de façon mesquine

Un vol retour après une semaine bien remplie chez les beaux-parents, ça devrait être un moment de calme. De décompression. Peut-être même l’occasion de piquer un petit somme avec le doux bourdonnement des moteurs. Mais parfois, une passagère mal élevée peut transformer un vol banal en scène de film… Et devinez qui s’est retrouvée dans le rôle principal ? Moi.

Quand le confort des autres passe à la trappe

Dès l’embarquement, tout semblait se passer sans accroc. Mon mari, Julien, m’aidait avec mes sacs, l’ambiance était détendue, et nos sièges étaient bien placés. Bref, rien à signaler… jusqu’à ce que je remarque que la femme derrière nous avait carrément ses pieds nus posés sur le dossier du siège de mon mari.

Oui, pieds nus.

D’abord surpris, nous avons tenté la carte du dialogue. Julien lui a poliment demandé de retirer ses pieds. Réponse ? Un petit rire moqueur partagé avec son amie. Charmant.

L’hôtesse de l’air : espoir (très) temporaire

Face à son impolitesse persistante et ses petits coups de pied réguliers dans le dos de Julien, j’ai suggéré de faire appel à une hôtesse de l’air. Une femme grande, sérieuse, professionnelle… qui, à notre grand soulagement, est venue la rappeler à l’ordre.

Mais à peine avait-elle tourné les talons que Madame Sans-Gêne a remis les pieds sur le siège, comme si de rien n’était.

Là, j’ai su qu’il fallait sortir l’artillerie légère. Parce qu’il y a des limites, même à la zen attitude.

« Version pas très zen de moi-même » entre en scène

Pendant que le chariot de boissons se rapprochait, une idée un peu piquante — mais franchement satisfaisante — a commencé à germer dans mon esprit.

Quand l’hôtesse est arrivée, Julien a commandé un gin tonic. Moi, une simple bouteille d’eau. Mais cette eau allait devenir une arme improvisée.

D’un geste parfaitement maîtrisé, j’ai renversé l’eau… sur le sac à main de la passagère, posé à moitié sous notre siège. Petite flaque bien placée. Dégâts garantis.

Mais ce n’était que le début.

Objectif : pieds au sol

Toujours jambes étendues, elle n’avait pas encore compris. Alors j’ai repris mon air innocent, pris une gorgée du gin tonic de Julien (qu’il m’a gentiment laissé), puis j’ai vidé le reste sur ses pieds.

Réaction immédiate : elle a crié, a retiré ses pieds comme si elle venait de marcher sur des braises, et m’a regardée avec des yeux qui auraient pu lancer des éclairs.

Mais moi, le visage angélique : « Oh, désolée… les turbulences ! »

Résultat : mission accomplie

Durant le reste du vol, plus un seul orteil n’a osé dépasser sa place. Pas un. Même lorsque la passagère s’est énervée en murmurant à son amie que j’étais « dégoûtante », elle n’a pas réessayé.

Et vous savez quoi ? J’ai savouré le vol jusqu’à la dernière minute.

Il y a des jours où la politesse ne suffit pas. Et parfois, une mini vengeance bien sentie permet de rétablir un peu de respect là où il avait disparu.

Alors, vous auriez fait quoi, vous, à ma place ?