Selon les psychologues, il existe 8 types de membres de la famille qu’il vaut mieux éviter en prenant de l’âge

Publié le 27 août 2025

Avec les années, notre regard sur la vie évolue. On devient plus attentif au temps qui passe… et à l’importance de bien l’employer. Mais si l’on choisit avec soin ses loisirs, ses projets ou même son alimentation, qu’en est-il des personnes qui nous entourent au quotidien ? Certaines relations familiales, que l’on pensait inévitables, peuvent se révéler usantes. Et si, en mûrissant, il était temps de revoir les règles du jeu ?

Le critique compulsif : stop au rabat-joie permanent

Vous connaissez ce membre de la famille qui a toujours quelque chose à redire ? Sur votre coupe de cheveux, vos choix de carrière ou votre manière de cuire des pâtes ? Ces remarques répétées finissent par épuiser. La solution ? Poser des limites claires et affirmer calmement ce que vous n’êtes plus prêt·e à entendre. Pas besoin d’entrer dans le conflit : une posture ferme suffit souvent à faire passer le message.

Celui qui ignore vos limites : non, c’est non

Il débarque à l’improviste, s’invite sans prévenir ou s’impose dans des sujets que vous préférez garder pour vous. Ce « bulldozer relationnel » ne comprend pas le mot non. Pour préserver votre tranquillité, répétez fermement – et sans culpabiliser – les mêmes réponses. Vos limites doivent être respectées.

Le roi de la confusion mentale : attention à votre équilibre

Le manipulateur affectif remet tout en question : vos souvenirs, vos émotions, votre ressenti. Il vous fait douter de vous à coups de phrases insidieuses comme « tu exagères » ou « tu te fais des idées ». Si le dialogue tourne en boucle et ne mène à rien, préservez-vous en limitant les échanges au strict nécessaire.

L’ambianceur du chaos : l’art de gâcher les repas

À chaque réunion de famille, il trouve le moyen de remuer de vieux conflits, de provoquer ou de créer des tensions là où tout allait bien. Le mieux ? Ne pas mordre à l’hameçon. Évitez de relayer ses propos ou de vous laisser entraîner dans ses disputes.

Le grand « preneur » : un échange à sens unique

Vous êtes toujours là pour lui : coups de main, prêts d’argent, écoute… mais rien en retour. Cette relation déséquilibrée vous épuise à la longue. Il n’est pas interdit d’être généreux·se, mais il faut aussi penser à soi. Et parfois, cela veut dire dire stop aux relations à sens unique.

Celui qui ne reconnaît jamais ses torts : un dialogue impossible

Il peut blesser, mentir ou trahir, mais jamais il ne s’excuse. Et surtout, il ne change pas. Ce refus de remise en question use les liens familiaux et empêche toute avancée. Dans ce cas, prendre ses distances est souvent une protection nécessaire.

Le moqueur des valeurs : vos convictions ne sont pas à débattre

Il critique tout ce qui vous est cher – vos choix de vie, vos convictions, vos passions – souvent sous couvert d’humour. Si ses remarques vous blessent et qu’il refuse de changer de ton, il est tout à fait légitime de prendre de la distance.

Le profil à risque élevé : prudence absolue

Certains comportements peuvent être particulièrement déstabilisants, surtout s’ils sont liés à un mal-être profond non traité. Si la personne refuse toute aide ou prise en charge, vous avez le droit de vous protéger. Une communication écrite peut parfois suffire pour maintenir un lien tout en gardant une distance sécurisante.